
Pour venger la mort de son frère, Cash, un arnaqueur né, se lance dans une vaste escroquerie. Mais, dans ce jeu de dupes permanent, difficile de savoir où sont ses amis et ses ennemis…
Avec Cash, Eric Besnard se lance courageusement dans un style assez peu exploité en France : la comédie de casse à l’américaine, façon Ocean’s Eleven. Tout y est : de la sympathique bande de truands au scénario complexe qui déboussole le spectateur, de la musique jazzy aux exploits rocambolesques de ces escrocs filmés en écran divisé. Le cinéaste coche toutes les cases de ce type de production donnant à l’ensemble un aspect plaisant bien qu’un peu formaté.
Jean Dujardin, parfait en arnaqueur beau parleur, et l’impressionnant casting qui l’accompagne agrémentent parfaitement l’intrigue qui enchaîne les rebondissements malins quitte à user de coïncidences bien commodes. Un film où il fait bon se faire pigeonner, voilà qui n’est pas si courant, surtout si l’on pense au nombre de films qui, chaque semaine, cherchent plutôt à vous plumer.
Si c’est bon à prendre, alors pourquoi pas. Plein d’a priori, je le voyais surtout comme un coup fourré.
Bravo. Joli commentaire. 😀
Dujardin qui casse, on l’avait déjà vu à Nice …
Ici, c’est Dujardin, dit Cash, qui fait le casse, …toujours à Nice.
C’est du film grand public, comme en font presque exclusivement les étasuniens, juste pour le cash.
Alors puisque ça n’est pas plus mal fait qu’ailleurs et que c’est un bon gars de chez nous, y’a pas à tortiller : mieux vaut aller voir cette cash-machinei-là plutôt que l’originale d’outre Atlantique !
Ca change de J’ACCUSE (11 ans plus tard), c’est certain !
Un film facile et néanmoins agréable. Cela suffit certainement à faire un succès
Pas très intéressée par celui ci