Mayday passagers peu nombreux dans un vol un soir de réveillon.
Mayday courageux pilotes aux commandes de l’avion de ligne.
May(r)day toi pour y faire entrer un énigmatique criminel.
Mayday éléments déchaînés et un atterrissage forcé sur une île.
Mayday des terroristes aussi dangereux que ceux de Mayday Lin.
Mayday prises d’otages et un pilote responsable qui aime les belles tirades.
« Mes passagers, ma responsabilité. » Et, bien sûr, personne pour Mayday.
Mayday gnons et des coups de masse dans la gueule pour sauver les prisonniers.
Mayday bouts de fils ensemble pour faire remarcher un vieux téléphone ou pour réparer les freins d’un avion. Pour le bus, pas besoin, y’a la clef.
Mayday méchants surarmés qui ne toucheraient pas un éléphant dans un couloir. Sauf, peut-être, un Gérard Butler qui passe par là. Mais « It’s OK. », même s’il n’a pas fait Maydaycine.
Mayday émotions factices et des invraisemblances en pagaille.
Et tu obtiens Mayday, un film d’action de série sans humour, ou alors involontaire, filmé façon nouveau Riche(t).