Pour consoler son Thorrent de larmes et éviter le sanaThorium suite à la mort de Tony Stark, alias Iron Man, et à sa séparation d’avec Jane, Thor tente de retrouver un nouveau souffle et exerce désormais sa noThoriété auprès des Gardiens de la galaxie. Il les aide, notamment, dans leur combat contre l’auThoritarisme d’extraterrestres Thorche-cul et dictaThoriaux.
Mais lorsqu’il apprend qu’un buThors a décidé d’envoyer tous les dieux au cremaThorium, il ne Thortille pas pour revenir aider les siens.

Alors que certains fans hurlèrent à l’exThorsion de blond après un Thor : Ragnarok plutôt pitThoresque qui s’auThorisait quelques Thordantes tentatives d’humour au milieu des habituelles Thorgnoles du dieu asgardien, Taika Waititi, sans même prendre le temps d’un brainsThorming ou de faire appel à un script docThor, décide d’enfoncer le clou de la plaisanterie et de la dérision. Et, cette fois, il y va à grands coups de blagues marteaux, au détriment de son super-héros qui, lentement, perd de ses pecThoraux.
Si certains gags sont collecThor, comme ces chèvres aux bêlements de stenThor, la propension de Chris Hemsworth à transformer son personnage en grand couillon fait perdre de sa superbe à une saga qui, au fil des épisodes, est devenue plus comique que cosmique.
Christian Bale a beau tenter de jouer les méchants d’un œil Thorve et Russell Crowe d’en faire des kilos en menThor, ces nouvelles aventures se transforment vite en banale hisThoriette quand débarque Jane, transformée en version cliThoridienne de notre super-héros qui semble aussitôt affligé d’une brusque spermaThorrhée.
Ajoutez à l’ensemble une musique tonitruante qui use les oreilles autant que le médiaThor et vous obtenez un film qui ne fera pas auThorité dans la nouvelle phase de l’univers cinématographique Marvel.
À ce degré d’enThorse au viking de l’espace, peut-être faudrait-il même songer à baisser les sThores ?