
Suite à la volonté d’un ministre de dégraisser la France de ses fonctionnaires, l’un d’entre eux, qui refuse de partir en échange d’un chèque, se voit muté dans les pires endroits du globe…
Les bidasses, l’homosexualité masculine et les fonctionnaires ont souvent été les mamelles de l’humour franchouillard au cinéma. Pour son second film, Jérôme Commandeur s’abreuve à l’une d’elle et joue la facilité avec cette histoire d’irréductible fonctionnaire qui s’accommode de tout afin de ne pas perdre son métier de « petit profiteur de merde », comme le qualifie l’un des personnages. Il faut dire que le héros de ces molles aventures est plutôt détestable, même s’il se rachète une improbable conduite dans les toutes dernières minutes du film. Histoire, sans doute, de ne pas se mettre tous les fonctionnaires, qui ont bon dos, à dos. Bref, courageux le Commandeur mais pas téméraire.
Reste la présence, hélas anecdotique, du toujours très drôle Esteban. À quand, d’ailleurs, une comédie originale qui prendra enfin le temps de mettre en avant son indéniable potentiel comique ?
La bande annonce me fait fuir. Tu confirmes mes craintes.
Bah moi c’est tout le contraire, j’ai adoré , faut dire je suis fonctionnaire depuis 30 ans au MESRI, c’est du vécu ! Et c’est par le salaire que je déplore, je suis plutot bien payé, c’est plutôt le système absurde et obsolète de la fonction publique dans lequel on se fiche des compétences des uns et des autres, où chacun après quelques années d’espoir et de loyaux services devient comme le personnage de J Commandeur voir pire, une question de survie sans doute toute catégorie confondue, dans la fonction publique, soit t’es syndiqué tu t’en sorts pas trop mal, soit tu meurs lentement, très lentement, croyez moi me faire muter au pole nord me ferait un bien fou, mais faut pas rêver, tous les postes à l’étranger sont pipés ! !
Pas tentée ^^
Quand dans une bande annonce, que j’ai déjà dû subir au cinéma avec l’insupportable augmentation du son comme argument publicitaire, présente des dialogues grotesques avec des mimiques surfaites, mais qu’il faut ajouter en supplément une musqiue de daube mais très dans le du moment avec surtout du rythme, … Il n’y a qu’une chose à faire : l’impasse et l’oubli d’urgence !