Pas de quoi baver devant cette histoire d’escargot rêvant de devenir un as des circuits automobiles.
Si l’animation est correcte (une banalité pour ce genre de productions), le récit (pauvre en gags, en rebondissements, en poésie…) fait du sur place et participe surtout à l’abrutissement des gamins à coup de musiques rap et de vrombissement de moteurs.
Une manière comme une autre d’en faire, au pire les futurs fous du volant, au mieux les prochains spectateurs de Fast & Furious 7, 8, 9,10… (Michelle Rodriguez donne d’ailleurs ici de la voix !).
Triste hymne à la gagne et à la vitesse qui ne propose finalement aux enfants qu’un imaginaire au rabais à base de grosses caisses, de tuning et d’émotion factice, le tout emballé dans l’éternelle morale américaine du « Quand on veut, on peut ! ».
Coquille vide maquillée comme une grosse cylindrée, Turbo n’a vraiment rien sous le capot !
On ne peut pas dire qu’il me tentait particulièrement, et je pense que d’après ton avis, il faut effectivement passer son chemin…
Mettre le turbo pour fuir !
Turbo arrière toutes !
Turbo, ça me rappelle quelque chose …
Le pochage au lait permet à la chair du poisson de garder sa blancheur. Comme pour le mode de cuisson « sauter » le filet sera débarrassé de sa peau avant d’être servi. Garder la peau du poisson pendant sa cuisson permet de garder sa forme au filet. Le turbot est un prince des mers. Sa chair est ferme, fine et savoureuse alors soyez extrêmement attentif à sa cuisson ! Si elle est trop longue la chair de ce magnifique poisson perd toute sa saveur et son moelleux et ceci quelque soit le mode de cuisson choisi.