Un homme fait le veilleur de nuit dans un petit hôtel.
Un soir, une fée se présente et lui demande de faire trois souhaits.
Un film qui fée dans l’humour décalé.
Un film qui fée dans la fantaisie façon Jacques Tati.
Un film qui fée… Qui fée quoi d’ailleurs ?
Tout comme leur personnage principal, les trois réalisateurs ne parviennent pas à concrétiser leur dernier souhait et semble suivre le conseil que la fée répète régulièrement au veilleur de nuit : « Prend ton temps ! ».
Mais, à trop attendre, leur film finit par manquer de rythme et l’ennui s’installe inexorablement devant cette suite de gags lourdingues qui se voudraient poétiques et de pas de danse foireux dignes des plus mauvais ballets amateurs.
Il faut laisser les fées se faire, dit-on.
Hélas, si le charme de La fée agit, c’est plutôt dans la salle que sur l’écran.
Car, à défaut d’inspirer les réalisateurs, elle s’est indubitablement penchée sur le berceau des spectateurs afin de les faire tomber dans les bras de Morphée.
Merci Marcorèle pour cette critique, et pour rester notre meilleur éclaireur cinématographique.
Je vais peut-être y aller, voir LA FÉE, vu que… je ne dors pas très bien ces derniers temps.
Au fait, l’entrée est libre ou il faut présenter une ordonnance ?
Pour ceux qui voudraient apprendre à taper un « e accent aigu » (é) en majuscule, je vous donne le truc : enfoncez « Alt » et sans relâcher tapez tour à tour 1 4 4 ; relâchez enfin le « Alt » et le tour est joué : É s’affiche ! Merci qui ?
Je sais, ce n’est pas l’objet du blog, mais les cinéphiles ont le droit aussi d’apprendre ce genre de chose… Ca restera peut-être un mérite inattendu mais inoubliable de ce film oubliable qu’est manifestement LA FÉE.
J’ai aussi une bonne recette de veau Marengo, mais je ne voudrais pas abuser…
Je pense suivre Gudule, ainsi que Maryvonne pour la cure de sommeil. Bravo à Gudule pour ses recommandations pour la saisie du é majuscule, mais cela ne fontionne pas.
Je vous en prie, JBV.
Pour le É, encore un peu de persévérance : Je précise donc qu’il faut se servir de la touche « alt » et du clavier numérique (donc, ça ne marche pas pour les malheureux qui en sont encore privés…).
Essayez, et vous verrez que ça peut donner :
É = alt + 144… Mais aussi ; À = alt + 183… Et encore Ç = alt + 128 …
Fabuleux, non ? De quoi s’endormir avec un sourire béat même sans La Fée …
Bon courage, donc, et bonne cure de sommeil.
Quoi, on ne parle pas que de cinéma sur ce blog ?
Mais si ! Un peu de digressions, mais nous traitons encore de LA FÉE, que Marcorèle a orthographié avec accent dans le titre de cette critique… Mais comment s’y est-il pris, lui ? Pavé numérique ou changement de casse (je n’explique pas le changement de casse : je ne veux pas troubler le bienheureux sommeil de JBV…) ?
Je ne peux que vous inviter à rentrer dans l’univers absurde, drôle et décalé d’Abel, Gordon et Romy.
Laissez vous happer par l’insouciance et retrouvez votre rire d’enfant.
Malheureusement le réjouissant film La Fée n’est plus sur beaucoup d’écrans, étant sorti il y a quelques temps déjà.
N’hésitez pas à visionner aussi leurs deux précédents opus L’Iceberg et Rumba.
Bien à vous dans l’humour et la bonne humeur!
Même si la qualité de leurs films est inégale, ces 3 scénaristes-acteurs ont du talent et une fraicheur (surtout « Iceberg » !) ce qui n’est pas à négliger face à un certain pantomime cinématographique français.