2016. Un condamné à mort est récupéré par une redoutable organisation qui cherche à lire sa mémoire génétique afin d’avoir accès aux secrets de l’un de ses ancêtres qui vivait en Espagne en 1492 : Aguilar, membre d’une mystérieuse société nommée les Assassins.
Après avoir massacré Shakespeare et son Macbeth, le tâcheron Justin Kurzel trucide le jeu développé par Ubisoft et retrouve, pour commettre son forfait, Michael Fassbender et Marion Cotillard.
On ne change pas une équipe qui perd.
Il faut avoir la foi pour sauter le pas et se coltiner pendant presque deux heures ce récit fumeux parsemé de bagarres filmées avec les pieds, d’escalades sans grâce et de vues aériennes aussi frimeuses qu’inutiles.
Au lieu de s’en prendre à l’animus, le réalisateur serait bien inspiré de retomber dans l’anonymus.
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Cinéluctable 
Ha ha ha ! J’adore tes mots 🙂
Merci Mieluce. 😉
Ça donne presque envie de le voir pour se marrer un bon coup 😊
Si seulement… Mais c’est surtout consternant…
Quel massacre ! C’est toi l’assassin… 🙂
Pourquoi ? Tu as aimé ce film ? 🙂
Pas vu ! Je ne vais au cinéma QUE pour Star Wars… et le Seigneur des Anneaux. Et Harry Potter. Et maintenant que mon fils est grand, il va au ciné avec ses copains. Donc j’y vais encore moins qu’avant.
Je plussoie ton billet alors que je ne l’ai même pas regardé en entier. Je me suis endormie au après le premier passage de Michael dans l’Animus, je me suis réveillée deux minutes avant le générique et j’étais même pas certaine de m’être endormie jusqu’à ce que le dernier plan disparaisse, c’est pour dire comme c’est gênant (pour eux).
En fait, tu es aussi entrée dans l’Animus à l’insu de ton pllein grée ? 😀 😉
Et pendant ce temps là, VIVENDI a échoué à prendre le contrôle de la société UBISOFT, qui a vu son cours multiplié par dix en cinq ans ! C’était ça, le vrai combat autour d’ASSASIN’S CREED !
Et entre deux bretons, en plus ! Comme si on ne pouvait pas garder notre énergie pour aller faire la guerre commerciale aux étasuniens qui nous vendent leur daube depuis des décennies pendant qu’on en redemande sans se demander si ça ne serait pas mieux si on proposait autre chose …
Je m’énerve, mais merde, comme disait Coluche !
En tous cas, ça fait plaisir de voir la verve toujours fringante de Marcorèle !
Rien de mieux qu’une belle daube pour réveiller le verbe ! 🙂