Affiche du film Escobar
Vie et mort de Pablo Escobar, chef Escobarge du cartel de Medellin.
Si vous n’avez pas envie de vous faire Escobaratiner pendant plus de deux heures sur les histoires de coucherie de « l’empereur de la cocaïne », ni envie de vous étendre sur la piètre performance d’une Penelope Cruz jolie mais sans charisme.
Si la prestation de Javier Bardem, aussi gras qu’une Escobaraqueàfrites, ne vous impressionne pas.
Si sa tête de Droopy, sur l’affiche, vous fait plus sourire que frémir.
Si la traque du cruel truand par un Escobarbouze américain à moustache vous laisse aussi froid que les papiers peints en vogue au début des années 80.
Si vous ne supportez pas les Escobaragouinages en anglais avec l’accent espagnol de tous les Colombiens du film.
Et même si vous êtes reconnaissant au réalisateur de ne pas avoir cédé à la Escobarbaque facile ou à un florilège un peu trop appuyé des méthodes Escobarbares utilisées par le criminel et son gang.
Un conseil, Escobarrez-vous de ce film du dimanche soir regardable, mais sans grand intérêt cinématographique.