
Après avoir raté sa cible en 2007, lors d’une première adaptation cinématographique d’un jeu vidéo à succès dont il est le héros, l’agent 47 revient pour une nouvelle mission et ne parvient toujours pas à faire mouche.
C’est ballot, surtout pour un tueur à gages réputé infaillible.
Mais à force d’user de la même formule dans tous les films d’action récents (acteur principal inexpressif au physique de garçon boucher, combats et poursuites montés à la serpe, tueries numériques où l’humain devient aussi insignifiant qu’un insecte) le pauvre agent, présenté comme un as de l’infiltration, ne peut même plus compter sur l’effet de surprise.
On suit donc ses nouvelles aventures avec l’ennui poli d’un spectateur de jeu vidéo auquel on aurait interdit de toucher aux manettes tandis qu’Aleksander Bach s’évertue à jouer de la grosse caisse plutôt que de nous offrir une symphonie de coups de théâtre.
Tuant !
ça sentait le sapin dès le départ …
Tu veux plomber un peu plus ma critique ? 😉
Je ne le sentais pas de toute façon ce film.
C’est trop gros et du déjà vu! Je préfère voir « Mission impossible » par exemple!
Effectivement, c’est préférable. 😉
moi j aime pas ce genre de film en fait , donc je suis pas bonne juge,
Ce n’est pas du grand art, en effet ! 🙂
Aussi expéditive qu’un « one shot », ta critique !
La verve avant la gueule de bois ! 😉
« acteur principal inexpressif », mince, les amerloques ont cloné Tom Cruise ?
Pas de doute : je n’irai pas voir ce truc … Aucun intérêt !
Mais tes interventions n’en manquent pas : d’intérêt ! 🙂