Chassés-croisés amoureux de vacanciers désœuvrés aux abords d’un grand hôtel du Touquet.
Film choral petit-bourgeois mettant en scène des gens superficiels et friqués (ou rêvant de l’être), cette comédie se révèle plus pathétique que drôle. Michel Blanc, dont la verve comique semble s’être émoussée, s’y donne même le plus mauvais rôle, celui d’un mari jaloux, au milieu d’une bande de têtes à claques dont les problèmes de cul et/ou d’argent indiffèrent rapidement.
Monté à la va-vite, comme si le réalisateur était pressé d’en finir, Embrassez qui vous voudrez ne charme, ni n’émeut malgré sa belle troupe d’acteurs… Tous à la ramasse. Et pour ce qui est de faire rire…
Un conseil ? N’entrez pas dans cette danse et sautez sur un autre film.
Tout à fait d’accord avec ta critique. Moi non plus, je n’avais pas apprécié ce film. Très décevant malgré son casting de choix…
😉
Je note de ne pas le regarder ^^
😀
Bon, merci, encore une fois cela nous évite un film. Désolée pour toi…
Absolument d’accord avec Marcorèle : Ce film est décevant.
Il faudra donc encore quelques années pour que ça devienne un bon film.
Je ne voudrais pas casser l’ambiance, mais ce n’est pas trop le moment d’embrasser qui l’ont veut, non ?
NB : Petite note pour aider à comprendre les générations de chercheurs à venir, qui liront encore CINELUCTABLE en bibliothèque d’histoire ou de cinéma en l’an 3500 et quelques, tapez sur votre moteur de recherche favori QWUANT (Mais oui, google va disparaître !!) : COVID 19 gestes barrière.