Ava Faulkner, redoutable tueuse travaillant pour une mystérieuse organisation, devient la cible de ses employeurs après avoir émis des doutes sur le bien-fondé de ses missions. Mais Ava pas se laisser faire.
Ava voir ce qu’on va voir, après Angelina Jolie dans Salt et Charlize Theron dans Atomic Blonde, Jessica Chastain s’offre son premier rôle de dur à cuire. Ava enfin pouvoir faire le coup de poing et mettre minable tous les méchants mâles qui tentent de lui chercher querelle.
Malgré le nom de son héroïne, on est loin d’être dans du Faulkner. Certes, il y a bien du bruit et de la fureur mais avec son scénario Avarié, Ava pas faire illusion longtemps. Ava même plutôt prêter à sourire cette tueuse au passé d’alcoolique qui ressent systématiquement la tentation du goulot dès qu’Ava mal.
Ava pas non plus du côté du casting. Appât du gain ou Avarice ? On se demande bien ce que sont venus faire John Malkovich et Colin Farrell dans cette galère. Seule la pauvre Geena Davis semble avoir une excuse : trouver de quoi réparer les outrages fait à son beau visage par un chirurgien qui n’Ava rien d’esthétique.
En tant que coproductrice, Ava sûrement nier l’évidence la Chastain, car les couleuvres (comme les navets) sont toujours difficiles à Avaler.
Chouette chronique ! Les navets ne te font pas perdre ton humour !
Je voulais terminer l’année par une note humoristique. Ava le faire avec ce film, je pense. 😉
Je l’ai vu. Je n’en étais pas tout à fait sûr, mais si ! Je suppose que je ne faisais pas que le regarder ou que j’ai passé certaines scènes en accéléré, mais c’est sûr, je l’ai vu. Donc, en connaissance de cause, je valide pleinement le commentaire de Marcorèle, qui sait ajouter l’humour et le brio alors que cet avatar de film ne mérite ni l’un ni l’autre.
Il semblerait que pour réaliser ce film, Tate Taylor brava nombre de réticence et gava d’arguments les producteurs, sauf Jessica Chastain qui lava et relava ses perruques, pava de bonnes intentions son argumentaire pour convaincreJohn Malkovich qui bava surtout devant le cachet et déprava à son tour Colin Farrell qui grava son nom au générique sans qu’on entrava sa carrière. La chose s’aggrava ensuite quand on chourava quelques scènes à d’autres films mais on s’en trouva bien et Ava arriva sur nos grands écran en juin et sur les petits dès décembre. Il faut juste ne pas être trop difficile : Quand Ava va, tout va ! Allez, on s’en va !
Bravo Gudule ! 😀
toujours drole et commentaires souvent bien mieux que les films ! merci et très bonne année
C’est gentil. Merci beaucoup. 😉
J’en avais entendu parler mais je ne savais pas quoi en penser