Alors qu’elle pensait avoir échappé à la boucle temporelle qui lui faisait revivre chaque jour son assassinat, Tree découvre que son cas n’est pas isolé et qu’il existe un univers parallèle au nôtre où c’est à nouveau sa fête mais avec de nombreuses variantes…
Au lieu de s’endormir sur ses lauriers et de refaire le même film en boucle, Christopher Landon profite de cette suite pour s’amuser à transformer tout ce que les spectateurs de Happy Birthdead tenaient pour acquis grâce à l’utilisation astucieuse d’un multivers (concept démocratisé au cinéma par les films de super héros). En redistribuant les cartes et les rôles, il transforme sa farce horrifique en une comédie de science-fiction joyeusement décalée portée par l’abattage (c’est le cas de le dire…) de Jessica Rothe, épatante en étudiante très énervée qui ne s’en laissera plus conter.
Distrayant, Happy Birthdead 2 You fait mentir l’adage selon lequel une suite n’atteint jamais le niveau de l’original. Preuve qu’avec un peu d’imagination, d’humour et une pointe d’émotion, rien n’est impossible.
Merci pour la chronique, je note que les deux films sont à découvrir 🙂
Oui, deux bonnes surprises. 😀
Si je ne peux pas mieux dire que rp 1989, peut-être que le plus simple est de dire tout pareil : « Merci pour la chronique, je note que les deux films sont à découvrir 🙂 »
Quoi, GUDULE se lance dans le plagia (assumé) !?! Aurait-il perdu sa langue personnelle pour la déléguer ainsi ?
Il faut bien admettre que nous n’avons sans doute jamais entendu parler de HAPPY BIRTHDEAD, alors il nous faudra en effet découvrir deux films en un, dans la foulée si possible.
Quelle bonne idée, en tous cas, pour le réalisateur, de poursuivre une série en modifiant profondément l’angle de vue. Passer du fantastique à la fiction, c’est régénérer le concept au lieu de simplement le délayer pour faire du beurre sur le dos des premiers consommateurs. Nous sommes habitués à une petite variante sans courage lors d’une reprise mais le changement de cap est à la fois audacieux et bienvenu.
Donc, nous tenterons HAPPY BIRTHDEAD à l’occasion, ne serait-ce que pour apprécier la qualité, annoncée par Marcorèle, de cette variation …