Affiche du film Percy Jackson Le voleur de foudre
Top !
Film dans lequel un jeune garçon n’est pas ce qu’il croit être.
Promis à une glorieuse destinée, il découvre l’existence d’un monde parallèle au nôtre où le fantastique et le merveilleux règnent en maître.
Sous la houlette d’un mentor, il se lance dans une dangereuse quête pour empêcher une guerre qui décimerait les siens, que l’on appelle aussi des Sang-mêlés.
Il est accompagné dans son aventure par deux amis, un garçon et une fille, ayant également des pouvoirs surnaturels.
Film faisant la part belle aux monstres et autres créatures mythologiques, j’ai Chris Columbus pour metteur en scène, je suis, je suis…
Buuzzzz.
Harry Potter à l’école des sorciers !
– Eh non, désolé. C’est Percy Jackson : le voleur de foudre. Vaine tentative de se faire du fric facile en marchant sur les plates-bandes du petit sorcier, quitte à revisiter la mythologie grecque à la sauce ketchup. Car, suite à la crise de l’immobilier, les dieux n’ont pu élire domicile qu’aux États-Unis, pays de la liberté et du mauvais goût assumé. Vous apprendrez au passage, bande d’ignorants, que l’entrée de l’Olympe s’effectue désormais depuis le sommet de l’Empire State Building.
Bref, c’est peu dire que le film de Chris Columbus sent la pacotille à plein nez avec ses effets spéciaux qui n’ont rien de divin et ses acteurs célèbres venus cachetonner comme des demi-dieux à la recherche d’une gloire facile.
Un visionnage à haut risque qui risque de gâter le goût des enfants pour la mythologie et pétrifier d’embarras leurs parents aussi efficacement que le regard de la Gorgone.