Fin des années 50, à Hardborough, une bourgade du nord de l’Angleterre, Florence Green, veuve de guerre, décide de racheter The Old House, une bâtisse désaffectée pour y ouvrir sa librairie. Une décision qui va se heurter aux notables de la région, bien décidés à installer un centre d’art dans le vieux bâtiment.
Chronique rurale et portrait de femme tout à la fois, cet hommage à la littérature à travers la vie d’une petite librairie se révèle bien empesé et loin d’être à la hauteur des livres et des auteurs dont il est censé faire l’apologie. Plutôt qu’à une tasse de thé corsé, c’est à une pauvre tisane sans goût que nous convie Isabel Coixet qui est parvenu, malgré ses jolis paysages, à endormir jusqu’à son casting. D’Emily Mortimer, d’habitude si rayonnante, jusqu’au pauvre Bill Nighy qui semble n’être plus que l’ombre de lui-même.
(Re)Lisez plutôt Ray Bradbury ou Vladimir Nabokov plutôt que de vous infliger ce long pensum.
Coucou Marco, je l’ai vu et je suis d’accord avec toi. Je m’attendais à mieux. Dommage parce que l’idée était bonne.
Bonne journée 😀
Oui, l’idée était bonne. C’est ce qui m’a poussé vers ce film. Mais la réalisation n’est pas à la hauteur des attentes. 😦
Dommage, « La vie secrète des mots » est un de mes films préférés…
J’adore le scénario de la lutte entre la librairie et le centre d’art ! Ca nous change des binômes mal assortis et des bastons pour sauver la planète 🙂
Je n’ai pas dit pour autant que j’irais le voir …
Fais comme moi, une soirée DVD sur ton canapé. 😉
Oui, dommage, car l’idée est effectivement très bonne, et le CV aussi …
On attendra de digérer la première déception et on le regardera quand-même …
Ok je passe mon tour ^^