Affiche du film Ad Astra
Roy McBride, un astronaute Ad Epte de missions périlleuses, est chargé d’entrer en contact avec son père, héros Ad Ulé, disparu lors d’une expédition vers Saturne et qui met aujourd’hui en péril l’humanité toute entière.
Roy pourra-t-il l’Ad Jurer de revenir à de meilleurs sentiments avant de l’envoyer Ad Patres ?
Ad Mirable ? La filmographie de James Gray l’est de moins en moins à mesure qu’il s’éloigne de New-York. De film en film, il nous rejoue la quête du père Ad Libitum. Mais, ayant sans doute fait le tour de la question, il semble chercher à se renouveler à travers différents genres.
Du film historique (The Immigrant – 2013) au film d’aventure (The Lost City of Z – 2016) en passant, ici, par la science-fiction. Une variation sur le même thème d’un cinéaste Ad Dict qui devient, il faut bien l’Ad Mettre, un peu lassante et à laquelle on n’est pas obligé d’Ad Hérer.
Film de S.F. Ad Ulte, Ad Astra opte pour un ton contemplatif que le cinéaste agrémente de belles images léchées et de l’apport, particulièrement convaincant, d’un Brad Pitt au physique d’Ad Onis. Malheureusement, la portée du propos se dissout, peu à peu, dans l’immensité de l’espace où nul n’entend crier, pas même le désespoir d’un orphelin en quête de reconnaissance paternelle.
Ad Roit, James Gray tente bien quelques scènes spectaculaires pour se faire Ad Ouber par l’amateur de science-fiction un peu plus corsée qui se serait égaré devant son propos aussi creux qu’intersidéral. Mais même ces rares moments semblent plus artificiels qu’en réelle Ad Équation avec le récit. Singer Kubrick, n’est pas chose aisée…
Nul doute, toutefois, que devant tant de beaux plans planants, les Ad Mirateurs inconditionnels de Gray crient au génie. Ad Orent, même…
Les autres espéreront seulement que le réalisateur reprenne pied sur terre, du côté de New-York, et retrouve la sensibilité dont il faisait preuve alors, sans essayer de l’agrémenter à tous les genres et à toutes les sauces.
Ad Vienne que pourra…