Affiche du film Le daim
Un « daimgo » à la dérive s’entiche d’une veste en daim, à franges, trop étriquée pour lui. Ensemble, ils décident de s’attaquer à tous les porteurs de blousons qu’ils croisent.
Alors qu’il est de bon goût, chez certains critiques, de se faire mousser en réévaluant certains nanars des années 80 comme des chefs-d’œuvre ou, à tout le moins, comme des films cultes. Il convient également d’aimer les œuvres absconses de Quentin Dupieux, son goût prononcé pour les napperons et le mobilier en rotin. Pour son nouveau larcin cinématographique, le malandrin nous convie à suivre un petit fait divers sur un zinzin dont les méfaits bis et pyrénéens tournent rapidement en eau de boudin, en dépit de la présence de Jean Dujardin.
Pauvre spectateur qui finit par se retrouver le « daimdon » de cette mauvaise farce.