Pour sauver son couple et leur sexualité en berne, un homme emmène sa femme – et sa belle-mère – en week-end dans un hôtel de charme où ils vont croiser, au cours d’une longue soirée, toute une galerie de personnages aussi étranges que libidineux.
Le réveil va être violent, d’autant qu’un crime a eu lieu pendant la nuit.
C’est à une Murder Partouze que nous invite Guillaume Nicloux dans cette comédie noire au ton très décalé qui se complaît dans les scènes graveleuses et les gros plans divers et variés (vomissure, sang, sperme et tâches en tous genres) destinés à choquer le bourgeois qui en a vu d’autres sur le net. Pas de quoi fouetter une chatte avec cette histoire sans queue ni tête qui tire en longueur et débouche sur un « culédo » qui peine à tenir en haleine. Reste quelques dialogues qui font mouche et l’indéniable investissement des comédiens.
Rien de bien bandant, en somme.
Un billet aussi savoureux qu’un bon coup « vite fait bien fait » ! Mwahahaha
Tu n’as pas perdu ton sens de la répartie. 😉
Moi, je recommande humblement de prendre le temps de relire la critique de Marcorèle plutôt que de lire mon commentaire !
J’adore Daroussin, alors je verrai de toute façon ce film, même si je ne connais pas encore la taille de l’écran …
« Pas de quoi fouetter une chatte avec cette histoire sans queue ni tête qui tire en longueur et débouche sur un « culédo » qui peine à tenir en haleine. »
Non, mais c’est pas de l’art, ça ? Hein ? Si on cherche un dialoguiste pour donner du fond ou de la saveur à un film, j’en connais un !!
Mais, dites-moi : Les actrices françaises ne vont pas se mettre à tourner des scènes de sexe en soutien-gorge et drap pudibond, quand-même ? Le puritanisme étasunien, on le leur laisse !
A poil au lit ! Sinon, y’a qu’à rester à table, sans blague !