Décidément, il n’y a pas de justice.
Le sort semble se liguer contre les personnages DC devenus – à force de films au mieux bancals, au pire ratés – plus comiques que comics.
Cette Justice League ne change rien à l’affaire qui doit, cette fois, affronter un méchant ridicule venu de l’espace et bien décidé à créer l’enfer sur terre.
Normal, il a un casque en forme de cornes démoniaques. Jugez de l’originalité…
Produit industriel plus que vision inspirée d’un réalisateur, la Warner mène la danse et à l’art de s’entourer d’acteurs de secondes zones (si on les compare à ceux recrutés chez Marvel) pour incarner ces super zéros qui n’ont vraiment rien de charismatique. La façon dont court le pauvre Flash mériterait même d’être recensée au « Ministère des démarches à la con » des Monty Python.
Seule Gal Gadot tire son épingle du jeu, dans la continuité de son film Wonder Woman.
Pour le reste c’est : Circulez, y’a rien à voir ou tout à revoir.
Je vais le voir en dvd :)!
Éventuellement. 😉
Je vais carrément attendre qu’il passe à la télé 😉
OUI !!!!!!!!! Bravo pour cette évocation du Ministry of silly walks des Monty Python !
Ce sera de toute évidence le seul mérite de cette super bouse JUSTICE LEAGUE que de nous remémorer ce fabuleux sketch !
Quelle maîtrise ! Quelle souplesse aussi ! C’est presque de la danse, trèscon-temporaine (qu’on ne se méprenne pas, j’adore souvent la danse contemporaine mais je m’essaye aux jeux de mots …) – Pour les plus jeunes, voici le lien Youtube à recopier pour découvrir qu’on peut rire cinq minutes avec une seule idée mais bien traitée, et sans aucun effet spécial :
Jusqu’où Marcorèle poussera-t-il l’abnégation pour nous offrir la critique de films qu’en aucun cas nous ne ferions l’effort et surtout l’erreur de découvrir ?
Sincèrement merci, Marcorèle !
Mais quel est votre secret ? Après JUSTICE LEAGUE, il doit bien falloir deux LITTLE BIG MAN ou quatre NE NOUS FACHONS PAS, pour ne pas désespérer du genre humain, non ?