Deux mercenaires, en quête de la redoutable poudre noire, atteignent la Grande Muraille de Chine et découvrent la raison d’être de cet immense édifice : contenir et repousser les assauts de monstrueuses créatures prêtes à décimer l’humanité.
Fantasy à la chinoise, mêlant le film de siège au film de monstres, La Grande Muraille retrouve la magnificence des décors et des costumes des précédents films de Zhang Yimou, ainsi que l’art du cinéaste à mettre en scène de vastes mouvements de foule et des combats fluides. Toute une virtuosité un peu gâchée par un récit simpliste rédigé par six scénaristes américains, dont le pourtant talentueux Tony Gilroy.
Cette hybridation sino-américaine, loin de faire des étincelles, troque la grâce poétique dont avait su faire preuve Zhang Yimou, notamment dans son chef d’œuvre Le secret des poignards volants, contre une suite de batailles efficaces mais sans âme, agrémentée de quelques vannes balourdes.
Matt Damon et Pedro Pascal ne se sortent pas trop mal de ce mélange bancal et se taillent la part du lion face à des acteurs chinois, Jing Tian et Andy Lau mis à part, un peu trop effacés.
Distrayant à défaut d’être inoubliable.
J’aimerai beaucoup voir Le secret des poignards volants :).
Bisous à toi et à plus sur nos blogs respectifs!
Il faut absolument que tu le découvres, en effet ! 😉
Parfaitement d’accord ! 🙂
Bon, allez, je m’attelle à La la land… Critiques croisées !
bon je suis desolée de dire cela car le theme etait bien, et important, l’acteur qui a realisé ce film est gentil
mais le film !!!!!!!!!!! « il a deja presque tes yeux »
et pas bien du tout,
les acteurs excellents, mais l histoire cela est pas top
a part la bande annonce qui annoncait de la drolerie avec une pointe de vérité, qui pouvait nous amener a reflechir sur la difference, bah le sujet etait mal traité
franchement bien pour un dimanche pluvieux a la tv
C’est noté, merci ! 🙂