Affiche du film Agents presque secrets
L’ancien souffre-douleur obèse d’un lycée retrouve, vingt ans plus tard, le seul gars à avoir pris sa défense à l’époque : la coqueluche de la promo 1996.
Le premier est aujourd’hui un agent balèze appartenant à la CIA, l’autre un petit comptable sans avenir.
Leurs retrouvailles vont être « presque » explosives.
Devant la caméra de Rawson Marshall Thurber, réalisateur des sympathiques : Dodgeball et Les Miller, une famille en herbe nous avons droit à :
Un duo presque mal assorti.
Deux acteurs presque convaincants.
Un scénario presque calibré.
Des gags presque aboutis.
Des scènes d’action presque ratés.
Une mise en scène presque absente.
Deux apparitions presque réussies.
Un bêtisier presque drôle.
Bref…
Un film qui donne presque la banane.