Suite à la disparition d’une riche héritière russe, les Beresford mènent l’enquête dans un centre de chirurgie esthétique aux méthodes aussi révolutionnaires qu’expéditives.
Avec cette troisième adaptation sur grand écran des aventures de Bélisaire et Prudence (alias André Dussolier et Catherine Frot), Pascal Thomas vient d’inventer la première comédie réservée au troisième âge.
Au milieu d’une vague intrigue policière pépère et d’un humour qui se voudrait décalé mais fait surtout bailler – avec petite incursion dans le paranormal, hélas plus pathétique que fantastique – les deux acteurs principaux font le minimum syndical et semblent profiter au mieux de leur magnifique séjour en Suisse et en Haute-Savoie.
On est content pour eux, ainsi que pour les pensionnaires des maisons de retraite qui ne verront pas leur sieste troublée par ce spectacle aussi vivifiant qu’un abus de somnifère au grand air. Sans parler des vieilles peaux fraîchement liftés qui ne risquent pas d’éclater leurs coutures par des éclats de rire intempestifs.
Mollassonne, pas drôle et avec une fin à n’en plus finir, il est à souhaiter que cette enquête soit la dernière. A moins que Pascal Thomas ne désire pousser son expérimentation jusqu’à l’encéphalogramme plat du rebondissement cinématographique ?
aaah …. je suis déçue de ta critique (pas du film je ne l’ai pas encore vu) car nous attendions la sortie avec impatience ; j’avais juste entendu dans la presse que ce film était un peu plus farfelu que les 2 autres.
Bon….on ira le voir quand même, surement lundi prochain, et on te dira !
je viens de regarder la bande annonce c’est pourtant alléchant, ils sont irrésistibles ces deux-là !!!!!
Serions nous en désaccord cinématographique….suite au prochain épisode
A
Bravo Annika ! Oui, ils sont irrésistibles ces deux là ! C’est difficile d’imaginer s’ennuyer devant eux… Mais sait-on jamais !
Annika, allez voir ça et donnez-nous votre sentiment personnel. Ensuite, on va ouvrir un blog dans le blog, faire un push, une révolution ! Ca lui apprendra à aller au ciné avec 40 degrés de canicule, à Marcorèle ou de rédiger une critique par cette température de sieste…
Ha-Ha ! Je me marre en imaginant la tête de notre critique en chef …
Et puis, qu’est-ce que c’est bon de ne pas être d’accord… même de mauvaise foi…
Pour ma part, j’avais beaucoup aimé les deux premiers opus, car j’adore le couple Dussolier – Frot, mais c’est vrai que la bande annonce m’a laissée … pantoise ^_^ Marc, je te dirais mon resenti 😉