Marre des histoires d’identité nationale ?
Marre des principes de précaution, du tout sanitaire et sécuritaire ?
Marre du politiquement correct prôné par nos élites pour le plus grand bien de tous ?
Alors venez découvrir les aventures amoureuses, politiques, rocambolesques et incorrectes de Bahia et Arthur.
A l’image de Katharine Hepburn et Cary Grant dans L’Impossible Monsieur Bébé de Howard Hawks, le couple formé par Sara Forestier (pétillante à souhait) et Jacques Gamblin (impeccable dans l’humour teintée d’émotion) fait des étincelles et renouvelle intelligemment le thème du duo mal assorti.
A eux deux, ils sont l’antidote idéal contre la morosité et l’égoïsme dans un film poil à gratter qui tombe à point nommé pour nous remettre les idées en place.
Plein de surprises et brillamment écrit, Le nom des gens dépeint avec légèreté, mais lucidité, nos travers, nos peurs et nos petites compromissions quotidiennes pour mieux les battre en brèche. Cette belle leçon de tolérance par le rire s’offrant même le luxe de faire poindre l’émotion, avec justesse, au moment où l’on s’y attend le moins. Efficacité garantie !
En ces temps de grosse « Potiche » remplie de « Petits mouchoirs » gras, Le nom des gens s’impose comme LA comédie française de cette fin d’année, sinon celle de l’année. Une comédie fine rehaussées de répliques piquantes, denrée cinématographique trop rare pour que vous la laissiez passer.
Et puis, un film qui nous change et nous venge de toute la bêtise crasse dans laquelle on aimerait nous voir se vautrer et nous donne envie de croire, encore, en la générosité de l’être humain, n’est-ce pas là le plus beau des programmes politique et la plus belle des idées de scénario ?
Ben ok je te suis, je l’enregistre ;))
Tu fais bien. 😉
J’ai bien fait effectivement 😉 Merci. Infiniment