Petite sœur de Mycroft et Sherlock Holmes, Enola a 16 ans et possède les mêmes dons de déduction que son célèbre aîné. Aussi, lorsque leur mère disparaît mystérieusement, la jeune fille se lance sur sa piste contre l’avis de ses frères.
Adapté d’une série de romans policiers pour la jeunesse, ce spectacle familial séduit autant par son ambiance holmesienne qui rappelle les intrigues imaginées par Conan Doyle que par son propos féministe qui met en avant l’émancipation des femmes dans la société corsetée de la fin du 19ᵉ siècle.
Alors même si Henry Cavill n’a pas forcément le profil austère du célèbre limier de Baker Street, que les rebondissement sont un peu attendus et que certains thèmes abordés rejoignent, avec opportunisme, des problématiques très actuelles, la narration enjouée et dynamique de Harry Bradbeer ainsi que les nombreux apartés de la pétillante Millie Bobby Brown contribuent à faire de cet Enola Holmes un divertissement fort plaisant.
Ca a l’air très bien, pour une fois que tu fais une critique positive sur un film action/sentiment, on prend ! 😉
Je suis bien d’accord avec toi, un divertissement plaisant 🙂 !
😉
tu m’as coiffée au poteau, article seulement en brouillon -))
J’ai beaucoup aimé, et je te rejoins totalement sur le contenu de ton billet.
La petite MB Brown a déjà tout d’une grande (découverte dans Stanger things) et elle est par ailleurs l’initiatrice et l’une des productrices de ce film.
Merci pour toutes ces précisions. C’est bien agréable de te voir repasser par ici, chère amie. 😉
Bonne nouvelle ! J’avais interprété pour ma part qu’il s’agissait d’un remake à l’eau de rose adolescente sans intérêt ni charme.
Votre critique est donc bienvenue, Marcorèle !
Et bien, pour ma part, je me reverrai volontiers l’original, plutôt que ce produit dérivé. Désolé de prendre le contrepieds de POULAIN, que je trouve un peu trop « perméable » sur ce coup là !
A quand les charmantes et insipides aventures des petits chats de Sherlock Holmes ?