Affiche du film Free Fire
Une vente d’armes clandestine, dans un entrepôt à l’abandon, tourne à la fusillade entre les différents membres en présence.
Nouvelle « Tarantinerie » dont la principale originalité réside dans son unité de temps et de lieu ainsi que dans le fait que les protagonistes, très endurants aux balles, passent la plus grande partie du film à se traîner par terre, dans la poussière et les gravats.
Le reste n’est qu’exercice de style convenu où la violence est dédramatisée à coups de répliques humoristiques et de situations absurdes. Un tir aux pigeons qui touche parfois sa cible même s’il n’y a pas de quoi ramper jusqu’à une salle de cinéma pour assister à ce jeu de massacre.