Thomas et ses amis entreprennent un nouveau périple pour sauver leurs compagnons qui ont été fait prisonniers par la société Wicked. La redoutable organisation a installé ses laboratoires dans la dernière ville encore épargnée par l’épidémie. Une véritable place forte dans laquelle est difficile d’entrer et dont il est pratiquement impossible de s’échapper.
Après un second volet sympathique (Le labyrinthe : La terre brûlée) qui ouvrait le terrain de jeu des évadés du labyrinthe sur un monde en plein apocalypse, on espérait un final aussi dédaléen que le début de cette aventure. Il n’en sera rien.
Ici, plus de mystères ni de sombres machinations. L’intrigue se contente de solder les comptes en gardant simplement à l’esprit l’idée de course contre la montre qui caractérisait les deux premiers films. Les scènes d’action s’enchaînent, toujours aussi efficaces – bien que franchement improbables, comme cette évasion en bus – mais le cœur n’y est plus. Deux ans ont passé depuis la dernière aventure, les trilogies SF pour adolescents sont depuis passées de mode au cinéma, les héros ont vieilli et nous aussi…
Cette saga, j’avoue m’intéresse peu mais peut-être un jour en dvd ^^.
Tu me diras… 😉
Pour les avoir lus, avant de les voir, je me suis lassée au troisième tome, donc à celui-ci. On n’y croit plus…
Donc, le film est raccord avec le livre. 😉
Déjà que l’affiche m’ennuie, avec sa ribambelle de profils d’ados impassibles bien coiffés mais aux sourcils froncés pour faire genre c’est grave … Avec le labyrinthe urbain en béton gris, façon houlala-ça ne doit pas être facile de sortir de là – Quelle aventure pour les pauv’ loulous ! J’en tremble pour eux !
Alors pour le film, je passe …
Mais une question : On a pris soin de mettre au casting (de l’affiche, en tous cas ) du brun, du blond, du gars, de la fille, du type caucasien, du type asiatique, …. mais pas de black ! Ils n’ont pas accroché à la série les blacks ? Ils sont privé de labyrinthe ?
J’ai quand-même l’impression que ce sont surtout les spectateurs qui se trouvent pris dans la labyrinthe et ne peuvent qu’aller voir le troisième après le second après le premier … Heureusement, « l’expérience touche à sa fin », nous prévient l’affiche.
Tu ne peux pas comprendre, POULAIN, t’es plus ado depuis trop longtemps !
Moi aussi, j’ai une question : C’est quoi un remède mortel ? Un oxymore ou une accroche publicitaire ?
Les jeunes s’amusent à voir leurs pairs en danger, c’est la moindre des choses … Ca ne mange pas de pain, mais ça détend, et ça fait toujours une bonne virée entre potes. Et puis les défauts du films sont un bon matériau pour développer leur esprit critique, non ?
J’ai décroché au premier…
J’ai trouvé le premier sympa, le deuxième qui vient de passer à la télé m’a laissée de marbre, alors autant te dire que je ne regarderai pas le dernier volet.
Je ne te jetterai pas la pierre… du labyrinthe. 🙂
A reblogué ceci sur Alessandria today.
Maintenant, on voit de plus en plus de films post-apocalyptique sans aucun sens profond, juste pour le spectaculaire. Nous sommes loin de 1984 ou du « Meilleur des mondes », vraiment. Dommage…