Godefroy de Montmirail retourne chercher Jacquouille au 20ème siècle ainsi qu’une relique que le fourbe écuyer a larciné.
Sans quoi le comte ne pourra pas épouser sa promise, dame Frénégonde.
Mais qu’est-ce que c’est que ce binz ?
La bonne souplette s’est transformée en un infâme brouet, Jean-Marie Poiré et Christian Clavier n’ayant, apparemment, pas fini de vider leurs morvines.
Suite opportuniste des Visiteurs, cette infâme vinasse ne nous permet même pas d’ouïr la doulce voix de Valérie Lemercier, remplacée par Muriel Robin qui nous estourbit d’un numéro de plagiat aussi gras qu’un pet de nonne.
Et ce n’est pas le grossier placement de produit pour « Crunch » qui vient donner du croustillant à l’ensemble, le film allant jusqu’à chercher l’inspiration dans certains gags de La Party de Blake Edwards, notamment lors de la garden-party des noces.
A court d’idées, ce nouvel opus, qui semble avoir été confectionné par un monteur pressé atteint de colique, serait donc de la merdasse ? Certes !
Apparemment, « on fait ces choses-là, mais on ne le dit point » comme l’affirme si bien Godefroy dans un éclair de lucidité.
Je l’ai plutôt bien aimé.
Bisous à toi et à plus sur nos blogs respectifs!
Je partage le même avis que toi ! J’ai été dispensée du troisième heureusement !
Je n’ai pas été aussi fin que toi sur le troisième opus ! 😦
En fait tu es un organisme de salubrité publique, de prévention contre les incursions ratées au cinéma ! 🙂
C’est la façon dont je m’organise qui te fait dire ça ? 🙂
j ai adoré le un, mais les suites pas du tout, et je ne suis pas allée au dernier
okayyyyyyyyyyyyyyy ca pouire de trop
Tu as bien fait, Morbleu !