Un homme féru de jazz déniche un album rare dans une brocante et n’a plus qu’une seule idée en tête : l’écouter tranquillement chez lui.
Mais entre sa mère, sa femme, sa bonne, sa maîtresse, son fils, ses travaux, ses voisins et son meilleur ami… Ce moment va être difficile à trouver.
Acteurs en surchauffe.
Musique d’ascenseur.
Réalisation sans imagination.
Voilà un divertissement grotesque et prévisible comme un boulevard sans fin.
Vous rêvez vraiment d’une heure (et 19 minutes) de tranquillité ?
Restez chez vous !
Ta critique est directe et très drôle, j’aurai au moins gagné une minute de bonne humeur 😉
Merci Biancat ! J’aime bien faire dans le bref, parfois c’est tout aussi efficace ! 🙂
mon heure (et demie) de tranquillité je vais la passer cet après midi en regardant « une femme mariée » de jean-luc Godard, film emprunté à la médiathèque…
C’est un après midi bague au doigt ? 😉
Merciiii ! Voilà une critique bien expéditive comme je les aime ! Bien torchée, dans tous les sens du terme. 😀
Je sentais bien que mes critiques piquantes te manquaient. Ça m’apprendra à parler de bons films ! 😉
Ah-ha ! Ca, c’est envoyé et bien roulé ! Qu’est-ce que vous leur avez mis !
C’est promis, sous aucun prétexte, on n’ira pas voir ça !
On peut toujours jouer à tenter d’identifier sur l’affiche : lui, sa mère, sa femme, sa bonne, sa maîtresse, son fils, ses voisins et son meilleur ami !
N’empêche, que la bande annonce est pertinente, car c’est vrai : C’est complètement con de vouloir se faire passer pour un polonais alors qu’on est portuguais …
Ca ne nous avance pas à grand chose, mais c’est vrai quand-même.
Alors une fois qu’on sait ça, on fait quoi ? Hein, je vous le demande !