Affiche du film Die hard 5 : Belle journée pour mourir
Papa McClane part en Russie.
Il a dans l’idée de renouer des liens avec fiston McClane.
Fifille McClane le dépose à l’aéroport et lui demande d’être sage.
Mais, comme d’habitude, papa McClane n’en fait qu’à sa tête et profite du séjour pour tout faire péter.
John McClane n’est plus que l’ombre de lui-même.
Il a, cette fois, manqué de flair et d’humour.
Pourtant, les indices pullulaient dans les titres de gloire de la filmographie du « réalisateur » John Moore.
En territoire ennemi : En Russie
Le vol du Phoenix : la résurrection de John McClane
666 la malédiction : était mal barrée
Max Payne : et sentait la merde.
Autant dire que confier les rênes du nouveau Die hard à ce tâcheron signait l’arrêt de mort de la série.
Mission accomplie !
Les nouvelles aventures de John McClane sont un spectacle abrutissant filmé à la truelle par un abruti. Avec mention spéciale à la course-poursuite la plus pachydermique de l’histoire du cinéma qui ferait presque passer celles des films de Michael Bay pour de l’art et essai.
Pour Die hard 6 : Belle journée pour dépérir, souhaitons que les hypothétiques retrouvailles entre McClane et sa femme restent dans le cadre familial par respect pour leur intimité et pour la tranquillité des neurones des spectateurs.