Papa McClane part en Russie.
Il a dans l’idée de renouer des liens avec fiston McClane.
Fifille McClane le dépose à l’aéroport et lui demande d’être sage.
Mais, comme d’habitude, papa McClane n’en fait qu’à sa tête et profite du séjour pour tout faire péter.
John McClane n’est plus que l’ombre de lui-même.
Il a, cette fois, manqué de flair et d’humour.
Pourtant, les indices pullulaient dans les titres de gloire de la filmographie du « réalisateur » John Moore.
En territoire ennemi : En Russie
Le vol du Phoenix : la résurrection de John McClane
666 la malédiction : était mal barrée
Max Payne : et sentait la merde.
Autant dire que confier les rênes du nouveau Die hard à ce tâcheron signait l’arrêt de mort de la série.
Mission accomplie !
Les nouvelles aventures de John McClane sont un spectacle abrutissant filmé à la truelle par un abruti. Avec mention spéciale à la course-poursuite la plus pachydermique de l’histoire du cinéma qui ferait presque passer celles des films de Michael Bay pour de l’art et essai.
Pour Die hard 6 : Belle journée pour dépérir, souhaitons que les hypothétiques retrouvailles entre McClane et sa femme restent dans le cadre familial par respect pour leur intimité et pour la tranquillité des neurones des spectateurs.
Je trouve cette critique particulièrement nuancée…
Enfin, c’est un tout petit peu ironique, parce que, en fait, je pense que c’est un peu facile et même pas très charitable de dire du mal des films de merde !
C’est quand-même un genre à part entière, les films de merde, non ? Un genre avec ses codes de merde, ses clichés de merde, ses scénarii de merde, ses mise en scène de merde, ses bastons et ses cascades de merde, son public avec de la merde dans les yeux … Tout le pack, quoi ! C’est du sérieux !
Rassembler tout ça en un film, faut quand-même le faire exprès. C’est du boulot de merde, mais cohérent, homogène, « pur » pour tout dire ! Pas de la merde à moitié sans traçabilité. C’est signé avec tous les tampons d’authenticité et tout et tout ! Y’a même des mecs qui assument en mettant leur nom au générique ! Aucune tromperie sur l’origine contrôlée. Pas du boeuf à la place du cheval, comme disent les gastronomes… Et la bande annonce est fidèle, représentative ! On ne peut pas se tromper ! Ceux qui vont voir ça savent à quoi ils s’exposent ! Et ils y vont quand-même ! C’est ça le mystère !
Au fait, Marcorèle ! Pour qu’on ne vous reconnaisse pas, vous mettez des lunettes noires quand vous suivez la file d’attente pour aller voir ça ? Et puis, ensuite, vous suivez une cure de désintoxication en sortant de la salle ; pour récupérer vos capacités cognitives ?
Un conseil à notre critique préféré : Allez voir plus souvent ces superbes films que vous annoterez volontiers « délectable » ! A ce jour, leur nombre est de 24 contre 28 effroyables… Il faut rééquilibrer ça au plus tôt sans compromission !
Et vivement DIE HARD 6 et 7 et 8, en version papier toilette !
Et vive la liberté de parole ! C’est toujours ça de pris !
A part ça, ne comptez pas sur moi pour perdre mon temps à aller vérifier par moi-même que toutes les critiques de Marcorèles sur DIE HARD 5 ont un fondement !
Pourquoi donc, me diront les plus distraits ?
Et bien, simplement pour la même raison qu’il n’y a pas de fumée sans feu ! Car il n’y a pas de merde sans fondement !
Ha-Ha ! Il n’y a pas de merde sans fondement ! Je me fais rire tout seul !
Bon, je vous avoue un truc : Je n’ai même pas le courage de regarder la bande annonce !
l’épisode de trop, en sachant que le précédent chapitre avait déjà montré de sérieux signes d’essoufflement. Et je me permets de laisser le lien qui mène vers mon blog cinéma : http://cinemachoc.canalblog.com/