
Alors qu’ils entreprennent des fouilles dans une station spatiale abandonnée, des jeunes gens se retrouvent confrontés à la forme de vie la plus terrifiante de l’univers…
Alien Romulus est à l’image de ce résumé succinct, il ne réserve ni grande surprise ni réelle trouvaille. Quant à la peur promise, vous repasserez…
Après avoir revisité, sans grand génie, Evil Dead et Millenium, Fede Alvarez confirme ici son statut de cinéaste doué pour la photocopie et offre un spectacle lisse et calibré pour les plateformes de streaming.
Pour faire simple, un film avec des ados fait pour des ados dans lequel Alvarez recycle nombre de références aux opus précédents, de Alien à Alien Covenant. Un bricolage nonchalant, sans aucun style propre, qui cherche à jouer au plus malin tout en tentant de nous faire oublier qu’il pompe sans vergogne les idées des autres pour nous resservir la même soupe (on appelle ça, aujourd’hui, le fan service). Et que penser de cette idée assez nauséabonde de faire revivre à l’écran un acteur (Ian Holm) décédé depuis quelques temps ?
En cherchant à donner un coup de jeune à la saga initiée par Ridley Scott, Fede Alvarez se trompe de cible et donne à son film un air de déjà-vu ou, plutôt, de déjà vieux.
Absolument d’accord ! ennui ferme au bout de 10 minutes, sombre et sans intérêt ! pourquoi vouloir refaire ce qui est très bon en copiant…
bon cinéma !
Fred
Bon cinéma à toi également. 🙂
Vu que le retour sur investissement semble avoir été particulièrement rentable, il est probable qu’on n’échappera pas à une suite d cela franchise avec la « nouvelle héroïne » de l’équipe…
(s) ta d loi du cine, « squatter » chez dasola