
Une ancienne journaliste politique, reléguée au football par sa chaîne d’information, est sommée de suivre, sans faire de vagues, l’entre-deux tours de la campagne présidentielle et plus particulièrement le favori à l’élection : Pierre-Henry Mercier, un candidat soutenu par les milieux financiers. Intriguée par son profil hors-norme, la journaliste va se lancer dans une vaste enquête et mettre à jour des secrets bien enfouis…
Après Adieu les cons et sa charge contre la bureaucratie, Dupontel s’attaque à la véracité de la parole politique ainsi qu’aux candidats aux élections présidentielles, marionnettes aux mains des puissants. Sur ces sujets, le cinéaste n’a pas grand-chose de neuf à dire. Alors il défend la noble, mais peu originale, cause de l’environnement sans y apporter, là aussi, une quelconque plus-value. Le scénario lorgne même sur la thématique d’une autre comédie, guère plus drôle, de Pierre Tchernia : La gueule de l’autre avec Jean Poiret et Michel Serrault.
Un Second tour pas désagréable mais vraiment très lisse (en dépit d’une fin sombre mais téléphonée, comme semble les apprécier Dupontel depuis quelques films) qui n’est sauvé que par la qualité de l’interprétation : Cécile de France et Nicolas Marié en tête.
Tu m’as donné envie de revoir « la gueule de l’autre ».
C’est fait pour. 😉
Mince alors ! Si Albert Dupontel fait dans le conventionnel, sur qui allons nous devoir compter pour ruer dans les brancards ?
SECOND TOUR serait donc lisse. Quelle déception !
J’avoue que, déjà, la bande annonce ne m’avait pas particulièrement inspiré ; alors avec une telle critique, ce sera sans moi !
Alors, moi aussi, je m’abstiens pour le SECOND TOUR.
Et c’est l’occasion de rappeler que voter est un devoir civique !
Voter, oui, mais se former aussi un avis autrement qu’en lisant des conneries sur les réseaux sociaux ou le florilège des petites phrases réductrices, aussi. Un vrai citoyen, qui veut avoir le droit de grogner comme tout le monde, et qui payera de toute façon ses impôts, se doit de prendre parti, de savoir vers quelle direction il espère que son pays, sa commune, son département, sa région, son Europe, se dirigera dans les années qui suivront.
Ce n’est pas si simple d’avoir un avis, mais c’est nécessaire de se poser des questions, pour ne pas être baladé par les vendeurs professionnels de mensonges mêmes s’ils ont changé de nom depuis la dernière élection.
Voyez ce qui se passe dans tant de pays où les gens n’ont plus aucune conscience politique. Ne comprennent rien et ne s’intéressent à rien. Ils filent les clefs aux plus menteurs et se retrouvent b…. bernés jusqu’à l’os !
Ne vous abstenez pas, ni au premier, ni au second tour !
Ca existe vraiment comme film « Les pétasses à Cancún » ?
Je connaissais LES PETASSES, des Inconnus, mais pas à Cancún …
Ca doit encore être une facétie de Marcorèle ! Mais je suis sûr qu’un film avec un titre pareil, ça marcherait ! Vous pourriez arrondir vos fins de mois en envoyant des scénarii (oui je sais, ça fait crâneur mais je m’en fout !) à L.A. (oui, je sais, ça fait trop genre qui bosse dans la finance, mais c’est du second degré !) !
Avec un titre pareil, ça ne devrait pas vous prendre plus d’une heure assis sur le trône pour écrire le cinoque-pisse ! Faut juste pas oublier d’aller aux toilettes avec un crayon !
Non, mais, Gudule ! Vous vous êtes trompé de film !
De toute évidence, vous vouliez écrire sur 3 jours max !
Suivez l’histoire, bordel !