
Cinq ans après Jurassic World : Le monde d’après, l’environnement de la planète s’est révélé hostile pour la plupart des dinosaures. Ceux qui subsistent vivent dans des zones équatoriales isolées, aux conditions proches de celles de leur ère d’origine. Parmi ces créatures terrifiantes, trois spécimens renferment peut-être la clé d’un remède capable de changer le destin de l’humanité.
Initiée avec le Jurassic Park de Steven Spielberg sorti en 1993, la franchise qui a relancé l’intérêt pour les dinosaures sur grand écran revient avec une nouvelle mutation de la saga et de nouveaux dinosaures génétiquement modifiés. De la poudre aux yeux qui ne change pas grand-chose au cahier des charges où l’on retrouve, comme d’habitude, des aventuriers et des scientifiques au grand cœur, des enfants en péril, des personnages secondaires dont on sait d’avance qu’ils serviront de croquettes aux monstres, sans oublier un méchant que la cupidité et le manque d’empathie perdra.
Dans cette attraction très balisée où la 4DX est plus que recommandée (mais pas la 3D), Gareth Edwards réussit quelques belles scènes d’action en mer, dans une rivière et au sommet d’une montagne. Il nous épargne même les éternels Velociraptors à qui il fait rapidement leur fête ! Pas de quoi s’extasier pour autant devant son gigantesque dinosaure hybride, aussi laid et sans intérêt que le méchant xénomorphe final de Alien Romulus.
De là à dire que quand il y a trop de gènes, il n’y a plus de plaisir…
Quand il y a trop de gènes, on passe à la gegène, mais ça ne fait pas pour autant des étincelles.
Non, le récit reste préhistorique et ses héros des hommes de Cro-Magnon. On dirait le film pensé uniquement pour le visionner dans les salles en 4DX. 😦
Je retiens moi aussi la séquence de la rivière, très impressionnante.
En dehors de cet énième « Jurassic », il y a un gros problème à Hollywood. Pouvoir mobiliser d’énormes sommes d’argent dans de telles productions, mais ne plus être fichu d’écrire de bonnes histoires et des personnages intéressants n’est pas rassurant. A l’image du nouveau « Superman ».
Pas été emballé non plus par le Superman, mais j’y vois une tentative d’essayer autre chose… Je lui laisse donc le bénéfice du doute en attendant de voir comment vont être les autres films tirés de l’univers DC.
Bonjour Marcorele, j’ai aimé le T Rex qui se réveille de sa sieste. Il est presque sympathique. J’ai aimé le film dans son ensemble. Bonne journée.