
Barney, Christmas et leur équipe de gros bras sévèrement burnés, mais aussi gravement clitoridés (féminisme oblige), reviennent pour casser du méchant, de la Libye aux eaux territoriales russes…
Mais qu’est-ce que c’est que cette bouse où rien n’est à sauver ?
Expendables 4 parvient même à faire passer les trois premiers opus pour des films art et décès.
Des effets numériques très peu spéciaux aux affreux décors sur fond vert, tout paraît aussi toc et sur-gonflé que les lèvres de Megan Fox ou la grosse roue arrière de la moto de Stallone qui semble lui raboter le fondement. L’acteur de 77 ans fait d’ailleurs de la figuration, préférant laisser la place à Jason « Burne » Statham qui tire la couverture à lui, ne laissant que quelques douilles à ses andouilles de compagnons.
La mise en scène, également à la ramasse, peine à garder dans le cadre les rares exploits athlétiques de Tony Jaa (Ong-Bak) et de Iko Uwais (The Raid) qui ne sont pas découpés au montage.
Seule vraie recrue de luxe de cette nouvelle aventure, Andy Garcia erre avec un cure dent coincé à la commissure des lèvres et cabotine sans vergogne en espérant se faire buter. Il va même jusqu’à qualifier l’un de ses collants adversaires d’herpès génital. C’est, finalement, un peu le sentiment que donne cette saga, véritable MST du film d’action qui n’en finit pas de capoter.
😂 Je vais donc me protéger en évitant de me chopper en plus quelques punaises de lit.
Tu fais bien. 😉
J »ai tenu très exactement 13 minutes, le temps de constater que Megan Fox est pathétique, Stallone vieux, les décors cheap, les fond vert aussi visibles qu’à l’époque des écran défilant, les dialogues indigents, le montage itou, et Statham est Statham. tenez en attendant je vous confie mon anthologie du cinéma d’action à moi, au sens large où je cite quelques perles pour faire oublier ce cauchemar : https://unchatsurlepaule.wordpress.com/2023/10/17/action/
Pas vu les précédents ^^