
Lilith, une chasseuse de primes, revient à contrecœur sur sa planète natale, Pandore, la planète la plus chaotique de la galaxie… Sa mission est de retrouver la fille disparue d’Atlas, l’homme le plus puissant de l’univers. Pour y arriver Lilith va devoir former une alliance inattendue avec une joyeuse équipe de marginaux.
Pour peu que l’on ne connaisse pas la franchise de jeux vidéo à succès qui a inspiré Borderlands, il est tout à fait possible de ressentir un petit plaisir régressif devant cet énorme film potache de science-fiction. Ça ne vole pas bien haut, les situations s’enchaînent à la va-comme-je-te-pousse et le scénario enfile les clichés mais les comédiens ont l’air de prendre du bon temps, surtout lorsqu’ils se défoulent sur l’horripilant petit robot à roulette qui leur sert de souffre-douleur.
Ce film aussi secoué (idéal pour la 4DX) que mal torché ne laissera aucune trace dans l’histoire du cinéma mais il peut faire la blague, certes un peu lourde, le temps d’une séance estivale.
Cate Blanchett a besoin d’argent ? Elle a perdu un pari ?
Elle devait refaire le botox de ses pommettes. Elle ressemble à un hamster…
C’est bien triste.
C’est dommage, une telle bouse, alors que l’affiche était si prometteuse ! 🙂
Mais vous ne dites rien de la qualité des dialogues ? Il y a des dialogues ?
J’aurais aussi apprécier découvrir un petit exposé sur le sens que donne le personnage affublé de deux oreilles de lièvre à cet attribut ridicule …
A part ça, je n’ai pas compris le message soutenu par ce machin cinémapathéticographique … Faut-il aller personnellement le subir en salle pour tenter d’en extraire le jus philosophique ?
J’avais cru lire BORDELALALAND !
Je suis rassuré … Il se limite aux très courts métrages sur Tiltok !