
Étude de texte critique à partir du synopsis original :
Comédien en perte de vitesse (comme ce film interminable), Stéphane (dont l’humour tant vanté reste à prouver) débarque avec sa troupe au Festival d’Avignon (histoire d’être tous sur le pont ?) pour jouer une pièce de boulevard (dont le titre Ma sœur s’incruste renvoie, en gros, à ce que fait la troupe au Festival off). Il y recroise Fanny, une comédienne de renom (il est permis d’en douter), et tombe sous son charme (ceux qui attendent la comédie romantique de l’été pourront repasser). Profitant d’un quiproquo (aussi appelé facilité de scénario) pour se rapprocher d’elle (et nous infliger une longue tirade du Cid qui ne vaut pas une bolée du même nom), Stéphane s’enfonce dans un mensonge qu’il va devoir faire durer le temps du festival (et quasiment toute la durée du film, hélas)…mais qui va très vite le dépasser ! (Tandis que d’ennui, le spectateur aura déjà trépassé).
Pas vraiment drôle et porté par des acteurs mollassons qui feraient mieux de continuer à faire du stand-up, Avignon aurait été bien inspiré de rester en off.
Bonjour Marcorèle, même si j’ai plutôt aimé le film, il faut reconnaitre qu’il est un peu long pour ce qu’il raconte. Les situations sont répétitives. Bonne journée.
Bonne journée aussi, Dasola. Merci pour ton passage. 😉
Ce film ne m’intéressait pas du tout. Aucun regret en lisant ton texte.
Pour apprécier une comédie sentimentale, je viens enfin de découvrir ‘Voyage à deux’ de Stanley Donen (1967), avec l’irrésistible Audrey Hepburn et l’excellent Albert Finney. Ca c’est du bon, du grand cinéma !
A qui le dis-tu ! 😉
Failli y aller cette semaine pour échapper à la canicule, hé bé je suis contente d’être restée sous le ventilo à lire George Sand !
C’est Sand regrets. 😉
Désolée que tu n’ai pas aimé, pour ma part je lui ai trouvé beaucoup de charme.