Dans un monde futuriste entièrement contrôlé par l’informatique, un programmateur de génie misanthrope a trouvé refuge dans une chapelle abandonnée où il attend un mystérieux coup de téléphone.
Pour patienter, il travaille au service d’une entité qui le surveille jour et nuit et pour laquelle il doit venir à bout d’un programme censé décrypter le sens de la vie.
Si ce résumé vous paraît confus, rassurez-vous le film l’est aussi.
Depuis plusieurs années, Terry Gilliam court après sa gloire passée. Avec Zero Theorem, il tente de retrouver la formule d’un de ses plus grand film : Brazil.
Peine perdue car, de toute évidence, le totalitarisme de l’informatique semble moins l’inspirer que celui de la bureaucratie et sa démonstration mériterait une sévère mise à niveau avec son scénario abscons et ses acteurs déconnectés qui errent dans des décors fauchés.
Plus ridicule qu’absurde, Zero Theorem à tout du film mal configuré.
Véritable bug cinématographique, il mérite un zéro pointé.
L’affiche donnait pourtant envie 😉
C’est tout l’art de la publicité ! 🙂
Dommage, on l’aimait bien Terry Gilliam..
Et oui, mais depuis son Don Quichotte annulé, il se bat contre des moulins. 🙂
Je ne le regarderai pas alors 🙂
Sauf si tu veux voir jusqu’où l’on peut descendre bien bas… 😉
Effroyable ? Tu plaisantes ? C’était l’un des meilleurs films de 2014 ! Pour une analyse détaillée: http://bit.ly/1Hr77om
L’un des meilleurs films de 2014 ? Tu plaisantes ? C’est un infâme nanar au goût de déjà vu. 😀
Plein de gens ont démoli le film. Moi qui suis fan de dystopies, je suis très cliente !
J’aime aussi ce genre de sujet, mais là – pour moi – ça ne passe pas. 😉
Merci pour cet avis qui ressemble à mon ressenti, je me sentais un peu seul…
Nous ne sommes pas seuls, je te rassure ! 🙂
Moi, j’adore quand les gens ne sont pas d’accord !
Dis-nous en un peu plus, Marla Singer ! Personne ne t’en voudra ici !
Comme Marcorèle, j’attends toujours de Terry Gilliam, un film à la hauteur de Brazil, que je revois toujours avec autant de plaisir.
En tous cas, l’image que laisse voir la bande annonce est tout à fait encourageante ; et la confusion ne me fait pas peur.
Alors, vas le voir et dis-nous ce que t’en pense ! Qu’est-ce que tu risques ? Si Terry Gilliam fait confus, et que ton esprit tordu peut nous remettre ça d’aplomb, on saura peut-être comment aborder cette œuvre décidément délicate. Allez POUPOU !
Je le savais, depuis des mois que j’hésite à le regarder, ça avait quand même bien l’apparence de la daube, ce truc-là. Merci monsieur Luctable de filtrer la mouise pour nous éviter d’y plonger les prunelles.