Affiche du film Zero Theorem
Dans un monde futuriste entièrement contrôlé par l’informatique, un programmateur de génie misanthrope a trouvé refuge dans une chapelle abandonnée où il attend un mystérieux coup de téléphone.
Pour patienter, il travaille au service d’une entité qui le surveille jour et nuit et pour laquelle il doit venir à bout d’un programme censé décrypter le sens de la vie.
Si ce résumé vous paraît confus, rassurez-vous le film l’est aussi.
Depuis plusieurs années, Terry Gilliam court après sa gloire passée. Avec Zero Theorem, il tente de retrouver la formule d’un de ses plus grand film : Brazil.
Peine perdue car, de toute évidence, le totalitarisme de l’informatique semble moins l’inspirer que celui de la bureaucratie et sa démonstration mériterait une sévère mise à niveau avec son scénario abscons et ses acteurs déconnectés qui errent dans des décors fauchés.
Plus ridicule qu’absurde, Zero Theorem à tout du film mal configuré.
Véritable bug cinématographique, il mérite un zéro pointé.